Ne parlons pas du sanglier considéré comme des plus malfaisants dans les communes de Manses, Lapenne, et Mirepoix... à qui le lieutenant de Louveterie (chasseur de belettes à ses heures) prête particulière attention, comme au corbeau freux, à la corneille noire, à la pie, au geai et à l’étourneau qui n’ont pas le statut de la chouette et du chat-huant tels que vantés par le poète breton Godolin, sous les étoiles du ciel tolosan ; poète lui-même encensé par cet ecclésiastique audois, ancien résistant autrefois invité dans les nuits et brouillards de la Germanie, avant de se retrouver, plus tard, ébloui par les “stars” du magazine Play Boy (version française ?) que sa fidèle secrétaire allait religieusement lui quérir au kiosque jouxtant le très orthodoxe Institut Grégorien d’Etudes Occitaniques, situé au cœur même d’une terre dite “hérétique”, selon la terminologie imposée par la Mère Supérieure de service dans un Centre Italien d’Etudes Vaudoises ; Révérende elle-même grassement rémunérée par le Conseil des Sages d’un Département assurant ainsi, à moindres frais, le rayonnementd’un tourisme des mieux économiquement illuminé (ô N’ Esclarmonda qui etz vos e Na Guia ! ...).
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